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PRESSE

Guy Bovet, La Tribune de l’orgue
63/1

« […] De ces trois CD, c’est toutefois celui de l’ensemble Arpane qui remporte ma préférence absolue. Il montre aussi la direction et la valeur que peut prendre un instrument à l’origine folklorique comme la flûte de Pan. Bien sûr, on n’évite pas l’incontournable « Entr’acte » d’Ibert, mais cette musique, tout comme celle de Ravel, de Debussy ou de l’époque romantique, s’accommode beaucoup mieux des couleurs de l’instrument que les baroques. Et il y a surtout les oeuvres originales: deux excellentes pièces de Michel Hostettler et une suite de Bernard Andrès, qui en font ressortir les vraies qualités. Le duo est admirable: musicalité venant du même coeur et de la même âme, précision impeccable, sonorités chatoyantes (n’oublions pas la harpe, splendide elle aussi!), et Mme Gollut joue de son instrument avec une sobriété pour laquelle je lui dis cent fois merci, évitant presque toujours ces fameux tics si lassants des flûtistes de Pan. C’est remarquable. »

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PRESSE-HEBDO Riviera-Chablais
12.10.2006

« Toute cette jeunesse – ainsi que les adultes – ont été séduits par un duo qui privilégie la musicalité et le travail bien fait. Les élèves de la flûtiste au Conservatoire de Vevey auront apprécié! une excellente propagande pour deux instruments qui sont faits pour s’entendre. La sonorité presque irréelle de la flûte de Pan se marie parfaitement à la harpe qui jamais n’impose son jeu. [..] Mais la flûte de Pan est l’apanage du folklore, qu’il soit roumain ou de l’Amérique du Sud et à ce répertoire-là, nos musiciennes sont irrésistibles. »

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24Heures
24.01.2005

« La mélodieuse sonate No 4 est exécutée avec élégance et une parfaite maîtrise stylistique […] La musicienne ornemente avec finesse la sonate No 8 en Fa Majeur de Haendel, en particulier le délicieux larghetto et se permet à l’allegro de savoureux glissandi qu’une flûte traditionnelle ne pourrait pas effectuer ! »

A. Pecqueur, Revue Musicale de Suisse romande
mars 2011

« Ancienne élève de Michel Tirabosco, Jeanne Gollut vient, quant à elle, de signer son premier enregistrement, avec la harpiste Julie Sicre. Le binôme mêle transcriptions (de Donizetti à Piazzolla) et pièces originales (la ballade et le divertimento de Michel Hostettler, bien sonnants). L’occasion d’apprécier le grain nuancé, parfois même un peu corsé, de la flûte de Pan de Jeanne Gollut, par ailleurs professeur au Conservatoire de Vevey. Une chose est sûre: la flûte de Pan n’a pas fini de séduire les jeunes générations de musiciens! »
A. Pecqueur, Revue Musicale de Suisse romande, mars 2011

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24Heures
08.09.2007

« A 22 ans, la Lausannoise Jeanne Gollut ne manque pas de talent. Là où d’autres essaient de briller au violon ou au piano, elle a choisi une voie plus originale, avec un instrument que le monde de la musique classique – à commencer par les Conservatoires – ne reconnaît encore souvent pas à sa juste valeur. Mais quel musicien au seuil d’une carrière de soliste peut se vanter de voir des compositeurs frapper à sa porte pour lui proposer d’écrire des oeuvres à son intention ? »

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24Heures
25.11.2003

« […] la flûte de Pan n’a plus de secret pour elle et la Ballade et Danse d’après des chants populaires roumains de György Ligeti est jouée avec une sonorité troublante et une technique impeccable. Chaleureusement applaudie, la musicienne s’associe à sa collègue et joue en bis un extrait du concerto pour deux flûtes en mi mineur de Telemann. »

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